Il n'existe que 100 pièces pour la collaboration Azuki x Moser. Voici comment cela s'est mis en place... Pour moi, les montres sont une question d'artisanat et de communauté. Azuki l'est aussi. Comme les montres, les NFT ont des communautés de passionnés. Les collectionneurs chassent les pièces rares. L'identité et l'exclusivité sont au cœur de tout cela. À bien des égards, les montres sont des pfps dans la vie réelle, elles reflètent nos goûts et signalent notre appartenance. De grandes marques comme Rolex fabriquent plus d'un million de montres par an. Mais les pièces les plus convoitées proviennent souvent de marques indépendantes qui en produisent beaucoup moins. Moser en fait partie, ne fabriquant qu'environ 1 000 montres par an. Ils ont un savoir-faire méticuleux et n'ont pas peur de repousser les limites. Grâce à @AZhangerator et au @AzukiWatchclub, j'ai rencontré Bertrand et Edouard de Moser. Nous avons demandé : que se passerait-il si nous intégrions l'univers d'Azuki dans l'artisanat de Moser ? Moser est connu pour ses cadrans dégradés époustouflants. Pour cette collaboration, ils ont fabriqué à la main quatre cadrans guillochés personnalisés, un pour chaque élément de l'univers Azuki. Ils sont incroyables et c'est quelque chose qu'ils n'ont jamais fait auparavant. Chaque pièce est accompagnée d'un PBT, permettant aux propriétaires de prouver l'authenticité et la propriété sur la chaîne. C'est le moment où le web3 revendique sa place dans le monde de la haute horlogerie. C'est un graal né de deux mondes. Une pièce de l'histoire d'Azuki, et un symbole du web3 se tenant côte à côte avec les plus grands collectionneurs du monde.